
INDE DU SUD | 2 SEMAINES AU KERALA
Tu prévois de partir 2 semaines au Kerala ? Dans cet article de blog, je te partage mon itinéraire complet, mes conseils, les erreurs à éviter et tous mes retours d’expérience pour t’aider à préparer au mieux ton voyage en Inde du Sud.
Sereine, verdoyante, exotique.
Ce voyage de 2 semaines au Kerala a bien failli ne jamais se réaliser. Dix jours avant le départ, on était encore à deux doigts de réserver des billets pour le Mexique.
Malgré tout, cela faisait des années que je devais une visite à Myriam, une amie d’enfance installée depuis près de 15 ans dans cette région du sud de l’Inde. C’est elle qui m’a décrit le Kerala comme une sorte de Sri Lanka, en mieux (dixit). Avec ses plages ourlées de falaises ocres, ses plantations de thé, ses backwaters paisibles et son climat tropical, je dois avouer que ma curiosité était piquée. Moi qui avait toujours été un peu intimidée par l’idée de voyager en Inde, le Kerala semblait promettre une immersion plus feutrée. Moins de chaos, plus de cocotiers. Et puis, quand on part sans trop d’attentes, on laisse plus de place à la surprise, non ?
Le revers, c’est que ce voyage s’est aussi fait sans réelle préparation. Entre le timing serré et le peu d’informations disponibles en ligne, je n’ai pas pu organiser cet itinéraire de 2 semaines au Kerala comme je l’aurais souhaité. Si j’ai parfois été frustrée de ne pas en faire plus, j’ai aussi pris le temps de ralentir. L’expérience a certes été moins dense que d’autres voyages, mais bien plus reposante. Après tout, c’est les vacances !
Et finalement, le Kerala m’a plu. J’ai aimé l’effervescence et l’authenticité de la vie quotidienne, les thés masala pris sur le pouce, le calme immuable des backwaters, les sourires timides de ses habitants et les saris éclatants qui illuminent les rues. Et surtout, le gros plus de ce voyage a été sa gastronomie, si riche, relevée et savoureuse ! Des bémols, il y en a tout de même : la foule (locale certes, mais foule quand même), la quantité de déchets, la conduite sur les routes… Mais dans l’ensemble, ce voyage au Kerala restera une belle expérience, que je recommande à tous ceux qui ont envie de partir en Inde sans oser franchir le cap.
Alors, si toi aussi tu envisages de visiter le Kerala, que ce soit pour un premier contact en douceur avec l’Inde ou pour vivre une escapade tropicale et dépaysante, ce guide de voyage est fait pour toi. Dans cet article de blog, je te raconte mon itinéraire de 2 semaines au Kerala, ce qui valait le coup, ce que j’aurais mieux préparé et ce que je ne répèterais pas si le voyage était à refaire, pour t’aider à éviter de faire les mêmes erreurs que moi.
On y va ?
Dernière mise à jour : 20/05/2026

Chapitres - 2 semaines au Kerala
Jours 1-2 : Cochin (ou Kochi)
En débarquant à Cochin (ou Kochi, les deux noms existent), nous avons aussitôt été happés par la moiteur de l’air. En avril, l’humidité au Kerala est à son comble et, combinée au décalage horaire et à la fatigue du voyage, elle nous a d’abord laissés peu réceptifs aux charmes de la ville.
Mais après une bonne nuit de sommeil et un premier avant-goût de la cuisine kéralaise, nous avons fini par poser un regard plus doux sur cette ancienne ville portuaire.
POUR ALLER PLUS LOIN | Que faire à Cochin (article publié prochainement)



Façonnée tour à tour par les Portugais, les Hollandais, puis par les Anglais, Kochi porte encore les marques de son passé colonial. À l’ombre de ses immenses et magnifiques banyans, on croise un nombre surprenant d’églises blanchies à la chaux, de bâtisses un peu défraîchies mais pleines de caractères et des ruelles pavées qui évoqueraient presque une Europe tropicale.
Mais on est bel et bien en Inde, et le tumulte ne tarde jamais longtemps à reprendre ses droits : concert de klaxons, circulation anarchique, tuk-tuks qui te hèlent tous les 3 mètres (« hello sir, tuk tuk ? Where are you going? »). En bord de mer, un cocktail odorant de poisson et de poubelles échouées nous piquent les narines… Au premier abord, Cochin ne nous a pas fait grande impression.

Plus que Fort Cochin (ou Fort Kochi), le centre historique, ce sont le quartier juif et Bazaar road qui nous ont davantage marqués. C’est justement en rejoignant Bazaar Rd à pied via Pullupalam Rd que l’énergie de la ville a fini par nous happer. Ici, plus de cafés touristiques ni de galeries artsy, mais un monde plus authentique, brut et bien vivant. Bouchers, poissonniers, vendeurs de bananes, réparateurs de vélo… tout un petit monde s’activait sous notre regard. Attention, les odeurs sont fortes et les carcasses d’animaux exposées en plein soleil peuvent choquer !
Bref, Kochi n’est sans doute pas la ville la plus spectaculaire ou pittoresque que l’Inde ait à offrir, mais c’est une clé essentielle pour comprendre l’histoire du Kerala, ses influences croisées, sa mosaïque de religions et son identité singulière. Et finalement, c’est une première étape parfaite pour s’immerger dans l’ambiance du Kerala.
Jours 3 à 6 : Varkala
Malgré ses centaines de kilomètres de littoral, l’Inde n’est pas une destination plage. Les Indiens vont rarement à la mer pour se baigner, et encore moins pour bronzer. La mer est d’abord un lieu spirituel, dédié aux rituels, aux processions et parfois aux crémations.
Malgré tout, après deux jours à Cochin, nous avions très envie de retrouver le bruit des vagues et la douceur du sable sous nos pieds.
Lors de la préparation de mon voyage, j’avais longtemps hésité entre Varkala, station balnéaire qui semblait un tantinet trop populaire, et les plages du nord de l’état, du côté de Kannur (ou Cannanore), paraît-il plus confidentielles et sauvages. Thottada Beach ou sa voisine, Kizhunna Beach, avaient particulièrement attiré mon attention. Mais voilà, il fallait plus de 5 h de train pour rejoindre Kannur depuis Cochin, puis autant à refaire en sens inverse trois jours plus tard. Sur un itinéraire de 2 semaines au Kerala, cela représentait un détour assez important. Finalement, j’aurais quand même dû suivre mon instinct et mettre le cap sur le nord.

Varkala, ou plus précisément Varkala Cliff, n’est pas tout à fait le paradis secret que certains promettent. Mais ce promontoire ocre perché au-dessus de la mer d’Arabie a tout de même quelque chose d’unique. Le long de la falaise serpente un chemin piéton étroit, bordé de boutiques d’encens, de vêtements légers, de cafés lounge diffusant des musiques de style Bollywood et de l’électro douce, et de quelques restaurants avec vue sur l’horizon. En contrebas, une immense plage dorée fouettée par les vagues est accessible par de raides escaliers.
L’ambiance est résolument touristique. Ce n’est pas pour rien que Varkala est souvent surnommée le “nouveau Goa”, et on y a effectivement croisé plus de voyageurs occidentaux qu’ailleurs au Kerala. Toutefois, le tourisme est principalement local : le week-end, les familles indiennes affluent, la plage se noircit de monde, et il devient presque impossible de circuler sur le sentier de falaise sans jouer des coudes.


Heureusement, il suffit de s’éloigner un peu vers le nord pour retrouver un semblant de calme. Odayam Beach, située à environ 15 minutes de marche de Varkala Cliff, offre une ambiance bien plus tranquille, parfaite pour marcher les pieds dans l’eau ou se baigner plus tranquillement. C’est d’ailleurs là que nous avions choisi de loger.
Pour nous, Varkala n’a pas été un coup de cœur. Nous l’avons trouvé bondée, trop touristique et assez sale. Cependant, tout dépend de ce qu’on vient y chercher. Pour les amateurs de yoga, Varkala reste un petit paradis. De nombreux hébergements le long de la falaise proposent d’ailleurs des sessions matinales face à la mer d’Arabie, dans une ambiance paisible. C’est aussi l’endroit parfait pour passer l’après-midi à se balancer dans un hamac, bercé par le bruit des vagues en savourant le plaisir de ne rien faire.

POUR ALLER PLUS LOIN | Varkala au Kerala mérite-t-elle la peine ? (article publié prochainement)
COMMENT SE RENDRE À VARKALA | Depuis Cochin, le plus simple (et le plus économique) est de s’y rendre en train. Le trajet dure entre 3h30 et 4h et les billets coûtent en moyenne 9 à 18 €, selon la classe choisie. Malheureusement, les billets de train étaient épuisés lors de notre séjour. Nous avons donc réservé un trajet InterCity directement sur l’application Uber pour 4 500 INR (environ 45 €) à deux. Note toutefois que les Uber sont disponible pour effectuer le trajet depuis Cochin, mais pas en sens inverse !
Jours 7 à 8 : Les backwaters
S’il y a bien une étape que j’attendais avec impatience lors de ce voyage de 2 semaines au Kerala, c’était celle-ci.
Les backwaters. Rien que le nom évoque un monde à part.
Constituant l’une des images les plus emblématiques de la région, les backwaters du Kerala sont un immense réseau de canaux, lagunes, rivières et lacs mêlant eau douce et salée, qui serpente à l’intérieur des terres parallèlement à la côte de la mer d’Arabie. Un labyrinthe aquatique qui s’étend sur pas moins de 900 km ! Mais les backwaters sont aussi un écosystème vivant, où les habitants cultivent, pêchent et vivent au rythme du clapotis de l’eau.


Les plus célèbres sont les backwaters d’Alleppey, connue pour ses houseboats, d’anciennes barges reconverties en hôtels flottants. Sur le papier, ça fait rêver. On s’imagine voguer au fil de l’eau au milieu des palmiers, dîner sur le pont au coucher du soleil, dormir bercé par le courant… Sauf que plusieurs témoignages de voyageurs m’ont vite refroidie. La popularité des houseboats génère de nombreux problèmes dans les backwaters, et provoque un impact écologique très discutable dans cet écosystème fragile : embouteillage fluviaux, contamination sonore et carburants déversés dans l’eau.
Sur les conseils de mon amie Myriam, nous sommes donc remontés plutôt du côté de Cochin, dans une zone moins fréquentée, mais tout aussi belle. C’est ainsi que nous avons posés nos sacs à dos au Kayal Island Retreat, un hôtel-boutique situé sur une minuscule île, accessible uniquement en barque. En chemin, on croise des pêcheurs, des enfants qui jouent au bord de l’eau et nous saluent avec des grands sourires… et c’est tout.
Difficile de trouver un spectacle plus apaisant que ces îlots verdoyants posés au milieu d’une eau miroitante. On a l’impression d’être dans un tableau impressionniste. Au coucher du soleil, on embarque pour une promenade en barque au milieu des canaux. Les oiseaux s’activent et la vie paisible suit son court au bord de l’eau. Même l’orage qui nous surprend au milieu de l’eau donne au panorama un air encore plus mystique.
Les backwaters, c’est le Kerala dans sa version la plus contemplative. Loin du tumulte de Cochin, de l’enfer de la circulation ou même des néons de Varkala, on a l’impression d’être dans un autre monde. C’est aussi l’endroit rêvé pour s’initier à l’ayurvéda, une médecine traditionnelle séculaire, ou simplement pour lire, se détendre et se recentrer sur soi.
POUR ALLER PLUS LOIN | Que faire dans les backwaters du Kerala ? (article publié prochainement)
COMMENT SE RENDRE DANS LES BACKWATERS | Évidemment, tout dépend de la zone des backwaters que tu veux rejoindre. Dans notre cas, nous avons pris le train de Varkala jusqu’à Cherthala (environ 2h), puis commandé un Uber jusqu’au « ferry point », où notre hébergement venait nous cherchait en barque.

Jours 9-10 : Athirappilly
Parfois surnommée les « Chutes du Niagara de l’Inde », Athirappilly impressionne. Cette majestueuse cascade surgit au cœur d’une jungle dense, peuplée d’éléphants sauvages, et même de quelques tigres. N’ayant trouvé que peu d’informations sur le lieu, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Est-ce qu’Athirappilly vaut le coup ? Oui… et non. Mais je vais un peu vite.
Pour l’occasion, nous avons décidé de nous faire plaisir et de casser un peu le budget pour une nuit au Flora Misty Falls, un hôtel avec vue directe sur la cascade. Un petit luxe que nous ne regrettons pas du tout. Prendre tous nos repas face à ce panorama magique sur la terrasse de l’hôtel et observer la brume matinale flotter au-dessus de la jungle dès le réveil a été une expérience magique.
Surtout, l’hôtel a représenté une véritable oasis de paix pour admirer la nature dans les meilleures conditions. Car si Athirappilly est encore méconnue des voyageurs étrangers qui planifient leur itinéraire de 2 semaines au Kerala, elle est en revanche extrêmement populaire auprès des touristes indiens. Surtout le week-end.

Ce fut notre principale erreur. Nous sommes arrivés un samedi après-midi, pensant naïvement profiter d’une visite tranquille le dimanche tôt le matin. Le réceptionniste nous a finalement encouragés à nous rendre sur le site vers 17h30, un horaire où — selon lui — la foule commence à partir. Je n’ose imaginer ce que ça donne lorsqu’il y a vraiment du monde. Effectivement, dès 7h du matin le lendemain, les premiers bus faisaient déjà la queue dans un concert de klaxons.
Des centaines de visiteurs locaux viennent en famille se rafraîchir dans les petits bassins naturels en haut de la cascade, pique-niquer et prendre des selfies au pied des chutes. Il y avait tellement de monde que nous avons vite pris la fuite, d’autant plus qu’il s’était mis à pleuvoir. Finalement, l’expérience était plus agréable depuis le balcon de notre chambre.

La cascade est superbe, mais si c’était à refaire, je changerais plusieurs choses.
D’abord, éviter absolument le week-end. Le conseil est d’ailleurs valable pour l’ensemble du Kerala. Avec un tourisme local aussi dense (forcément, avec 1,4 milliards d’habitants…), les lieux prisés deviennent vite impraticables les samedis et dimanches. En semaine, surtout le matin, c’est généralement plus calme.
Ensuite, la cascade était à son minimum en avril. Même si elle était déjà magnifique, elle doit être vraiment impressionnante vers novembre ou décembre, après la mousson.
Enfin, j’aurais aimé explorer davantage les environs. La jungle autour d’Athirappilly est superbe, mais aucune excursion n’est vraiment proposée aux visiteurs. Je suis persuadée qu’en demandant à la réception, on aurait pu organiser quelque chose avec un guide local ou un garde forestier. Il y a aussi plusieurs autres cascades plus petites (et peut-être donc moins fréquentées) aux alentours, et sans doute quelques balades à faire en aval le long de la rivière.
ACCÈS AUX CHUTES D’ATHIRAPPILLY | L’entrée à la cascade se trouve ici. On y accède par un chemin en bois bien aménagé. Il faut compter environ une dizaine de minutes de marche pour atteindre le haut de la cascade, qui offre déjà une très belle vue sur les chutes et la jungle environnante. Ensuite, un sentier un peu plus raide permet de descendre au pied des chutes en 5 minutes supplémentaires.
HORAIRES ET TARIF | La cascade est ouverte tous les jours de 8h à 18h, et l’entrée coûte 200 INR pour les étrangers (environ 2 €). Des garde-chasses patrouillent dans la zone en dehors des horaires officiels, il est donc inutile de tenter une visite au lever du jour ou après la fermeture.
COMMENT SE RENDRE À ATHIRAPPILLY | Athirappilly étant une destination un peu en dehors des circuits classiques, il est un peu plus compliqué de s’y rendre. Le plus simple depuis les backwaters est de repasser par Kochi ou de se rendre à Ernakulam Junction, puis de passer encore une fois par Uber. Pour notre trajet, nous avons payé 2 500 INR (environ 30 €).
Il est aussi possible de s’y rendre à la journée depuis Cochin avec un tour comme celui-ci via Get Your Guide.
Jours 11-14 : Munnar
Sur le chemin d’Athirappilly à Munnar, nous tentons d’apercevoir quelques éléphants qui, selon notre chauffeur, viennent souvent se promener dans les environs. Mais pas l’ombre d’une oreille à l’horizon. Ceci dit, le trajet est superbe.

Perchée à plus de 1 600 mètres d’altitude au cœur des Ghâts occidentaux, Munnar est la région la plus verdoyante du Kerala. Ici, le climat tropical laisse place à une fraîcheur bienvenue, l’air est plus léger et les collines sont couvertures de plantations de thé à perte de vue.
Ancien lieu de villégiature prisé par les colons britanniques fuyant la chaleur des plaines, Munnar offre des panoramas spectaculaires noyés dans la brume, une lumière douce et un vrai bol d’air.
C’était aussi une étape particulière pour nous, car nous y avons retrouvé mon amie Myriam et son compagnon Abbhi, tous les deux installés au Kerala depuis de nombreuses années. Ce sont eux qui nous ont emmenés explorer la région et nous nous sommes laissés portés.
Malheureusement, la chance n’a pas été de notre côté. Les cascades étaient à sec, le coucher de soleil avalé par les nuages, et toujours pas l’ombre d’un éléphant.
Pour autant, malgré les occasions manquées, je garde un excellent souvenir de cette étape. Enveloppé dans cet écrin de brume et de thé, Munnar dégage une atmosphère à la fois exotique et sereine. Et cascades ou pas, les paysages font indéniablement partie des plus beaux du Kerala !


POUR ALLER PLUS LOIN | Que faire à Munnar ? (article publié prochainement)
COMMENT SE RENDRE À MUNNAR | Uber n’étant pas opérationnel à Athirappilly, notre hôtel nous a négocié un tarif avec un taxi de confiance de 6 500 INR (environ 70 €) pour 4 h de trajet.
Jour 15 : Retour au bercail
Pour la dernière nuit, vol à 5 h du matin oblige, nous avons dormi quelques heures dans un hôtel face à l’aéroport.
Ce voyage de 2 semaines au Kerala touche déjà à sa fin ! C’est avec un petit pincement au cœur que nous faisons nos adieux à Myriam et Abbhi, avant de retrouver Madrid, son soleil et ses tapas ☀️
Cet itinéraire de 2 semaines au Kerala n’a peut-être pas été notre plus gros coup de cœur, mais il restera une belle découverte. Entre la gastronomie qui nous a absolument enchantés, la culture indienne si singulière et les paysages empreints de sérénité, nous repartons la tête pleine de doux souvenirs.
Surtout, cette première immersion en Inde a été l’occasion de bousculer certaines idées toutes faites et de déconstruire l’image trop réductrice que je me faisais de ce pays immense.
En somme, le Kerala m’a intriguée, apaisée, parfois même touchée, et m’a donnée envie d’en découvrir davantage. Parce que bien sûr, l’Inde ne se résume pas à une seule région ni à une seule expérience.
Ce n’était qu’un début !
CONTINUE TON AVENTURE EN INDE DU SUD
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